mardi, décembre 23, 2008

Houeisai a Luang Prabang en bateau.

Nous devions partir a 8h30 restant un peu de place nous attendions d’autre touriste le bateau bien bourrer de type longue barque couvert ou une mince péniche, nous partîmes a 11h30 arrivée a 5pm a Pakbeng.

Le Mékong arrose le pays sur une longueur de 1 800km, théoriquement navigable, cependant pendant la saison sèche le niveau des eaux ne permet pas aisément de se déplacer, surtout quand les barrages Chinois restent obstinément fermé. La totalité des terres cultivable se situe au bord du fleuve.



A Pakbeng bourgade de Hmong accrochée a un flanc de montagne ou tous se trouve dans la rue principal.
Le Mékong se montre tour a tour étroit ,puissant ,désert ,cisaille de paravents de rocs noir, de feuillage

160km de Pakbeng a Luang Prabang.

L'histoire du Mékong, une branche de vie pour l’Indochine

Le fleuve est à l'origine appelé Mae Nam Khong par l'ethnie Taï, répartie dans tout le bassin ; pour raccourcir, ils disent Mae Khong, signifiant « Mère de tous les fleuves » ou « Fleuve Kong ». Ce nom fut adopté par les Chinois, qui modifièrent un peu la prononciation, ce qui donne Méigông Hé (湄公河) ; le nom est redondant, signifiant « Fleuve Kong fleuve », redondance qui existe dans presque toutes les langues aujourd'hui.

Pour la plus grande partie de sa longueur en Chine il est appelé le fleuve Lancang (chinois simplifié : 澜沧江, chinois traditionnel : 瀾滄江, pinyin : Láncâng Jiâng), signifiant « fleuve turbulent » (tout le fleuve, y compris la partie en Asie du Sud-Est, est appelé Meigong (chinois simplifié : 湄公河, pinyin : Méigōng Hé)), et au Tibet རྫ་ཆུ་ rDza-chu ( pinyin Zá Qū). En birman il est appelé Mae Khaung, en thaï Mae Nam Khong (แม่น้ำโขง), en lao Mènam Khong, en khmer Mékôngk ou Tonle Thom (« grand fleuve »), et en vietnamien Cửu Long Giang (pour la section coulant dans le pays), ou Mê Kông (en entier).

En thaï « kong » (โขง) est une espèce de crocodile ; certains pensent que ce mot a évolué à partir de « kod » (คค) ou « kong » (โค้ง), étant tous les deux des adjectifs pour décrire les méandres et courbes d'un fleuve ou d'une route
Le Mékong est un fleuve d'Asie du Sud-Est, le quatrième fleuve de l’Asie par le débit - après le Yangzi Jiang, le Gange-Bramahpoutre et l' Ienissei - et le dixième du monde, son débit étant de 475 km3 d'eau par an. Les chiffres concernant sa longueur varient de 4 350 à 4 909 km, la mettant en 10e place, et son bassin versant draine 810 000 km²[1].

Né dans le Tibet oriental (sur les hauteurs de l'Himalaya), le Mékong arrose successivement la Chine (la province du Yunnan), le Myanmar, le Laos, la Thaïlande, le Cambodge et le Viêt Nam.

Environ 70 millions d'habitants vivent directement dans son bassin versant, situé sur des pays totalisant 242 millions d'habitants. Il est notamment utilisé pour l'irrigation, comme réceptacle de systèmes de drainage et d'eaux usées, pour la pêche et la pisciculture, la production hydroélectrique (grâce aux barrages comme celui au Yunnan), le transport et la fourniture d'eau pour l'industrie et les particuliers. Il est également connu pour ses habitations et marchés flottants.

Une commission internationale(Mekong River Commission) est consacrée à une gestion transrégionale des conflits et problèmes liés au fleuve, dans une perspective affichée de développement durable signé par la Thaïlande, le Laos, le Cambodge et le Viêt Nam.

Problèmes environnementaux

Les deux sujets les plus controversés sont ceux de la construction de barrages et la destruction de sauts.

Plusieurs barrages ont déjà été construits sur des affluents du fleuves, notamment celui de Pak Mun en Thaïlande. C'est une stratégie critiquée au niveau du coût ainsi qu'en raison des dommages infligés à l'environnement et aux villageois.

La Chine a un grand projet de construction de barrages sur le fleuve ; un a déjà été construit à Manwan, et un second est en cours de construction à Dachaoshan. Douze autres sont à l'étude.

Le Cambodge, pays dévasté par la guerre, est complètement dépendant du fleuve pour nourrir ses habitants et mener son économie. Les inondations annuelles fournissent de l'eau, si précieuse dans un pays sec, et remplissent le lac Tonle Sap. Toutes les villes principales du pays sont sujettes aux inondations. La Commission pour le Mékong a accusé la Chine de ne pas se soucier de ses voisins en aval avec ses projets de barrages sur le fleuve. Depuis la construction du premier barrage chinois, beaucoup d'espèces sont en danger d'extinction, dont le dauphin et le lamantin du Mékong, le niveau du fleuve a baissé, les poissons pêchés sont plus petits et moins nombreux, le port de Chiang Rai fonctionne à un quart de son activité normale, et la navigation entre Chiang Rai et Luang Prabang dure deux jours en raison du niveau d'eau insuffisant.

Les nouveaux barrages à l'étude auront un impact encore plus négatif sur le fleuve une fois la construction achevée. Tous les pays en aval souffriront d'une pollution accrue (due au développement et à la faible mise en application des lois concernant la pollution en Chine). Les pesticides et l'industrie lourde vont polluer les réserves de vivres et encourageront les efflorescences algales des organophosphates de l'agriculture, menant à des invasions d'Eichhornia. Ils vont aussi bloquer les migrations d'espèces de poissons.

D'autres problèmes surgissent : des courants trop forts à certains endroits pendant que la Chine détruit des rochers, des bancs de sable et des gorges et ralentit l'eau en la contenant entre des barrages pour inonder section après section. Les habitants de la région vont être déplacés. Le Cambodge est le pays le plus à risque, dépendant de courants et d'inondations bien précis ; on y craint des famines, comme celle qui aurait décimé la civilisation d'Angkor il y a 700 ans. Toutes les grandes villes du Laos sont sur le fleuve, ainsi que la plus grande et importante ville du Viêt Nam, Hô-Chi-Minh-Ville, qui sera affectée par les courants insuffisants et la pollution.



samedi, décembre 20, 2008

Luang Namtha a Houeisa route 3



Le marché de Luang Nam.l y a de bon beignet à la banane, et ils sont bien gras !!

Route 3 en très bonne condition goudronné en mamelon (auto route,trop grosse route qui a dut chambouler pas mal la faune ) construit par la Chine et la Thaïlande pour leur raison personnel.



Un magnifique paysage a travers une jungle tropical très vallonné, la rénovation de la route a apporter beaucoup de bien pour certain, mai pour d’autre pas trop, c’est une route pour que les gens aillent surtout plus vite. La déforestation est un problème important, car de nombreux arbres, parfois rares, quittent le pays légalement ou illégalement. Les exportations ont plus que doublé entre 1993 et 2002, le principal client restant la Thaïlande.
Très jolies paysage tropicaux on traverse la réserve de Nam Tha, nous sommes émerveiller de voir de gigantesque arbres qui couvrent le paysage .





On traverse de nombreux village minoritaire qui sont parrainer par des ONG de différents pays, le Japon, l’Allemagne, l’Italie, la France et d’autre qui consiste a financé des villages, en premier par un puits, une école etc.. ce qui est très bien, mai lorsque on s’arrête dans ces village, les gens on tendance de demander ou de requérir quelque chose des étrangés, qui n'est pas une tres bonne habitude quand on leur donne quelque chose.



Visite d’une grotte au milieu de la jungle, sans un touriste.

Jeune Monk sur sa bicyclette. Très mignon avec son bonnet orange.


Arriver a Houeisai sous le couché de soleil prés de l’aéroport, ville étendue sur la rive, entre et forets dans une région appelée le Triangle d’Or. Beaucoup de marchandise arrive de Chine pour aller en Thaïlande a travers le pleuve..

lundi, décembre 15, 2008

Oudom Say (Muang Xay) a Luang Namtha ,route 1

Oudom Say-Muang Sing (Muang Xay)
A 200 km de Luang Prabang ville de passage et de croissement et commercial avec très grosse influence Chinoise(les envahisseurs ).

Vue panoramique a partir de la colline Phu That. Un bon coin pour camper.

Un bon plat de nouille, une bonne spécialité ,petit déjeuner de champion, quand il y pas de MGS et trop de sel qui est toujours accompagner avec de la salade.

oute 1 direction de la Chine route national, une route de rêve pour une national.
Pas pour longtemps.


La forêt laotienne, la plus dense de l’Asie du Sud-Est, est menacée. Tout d’abord par la culture sur brûlis, qui consiste à déboiser une petite parcelle de terrain, puis à la brûler, afin d’y exploiter la terre. Bien que des efforts soient mis en œuvre, comme dans la province d’Oudomxai.

Le gouvernement aura du mal à s’opposer à ce mode de culture, vieux de plusieurs siècles. Qui disent, car cela n’empêche pas que l’état en profite, et ne donnant pas d’alternative culture a part de couper les forest et en suite de faire des cultures de riz.
Et nous Européens nous aggravons cette déforestation en achetant ce bois sous forme de mobilier de jardin et autre…


Les rivières très importantes pour la vie Laotien.

Notre derniere nuit de luxe,un petit coin de paradis avant d'arriver a Luang Namtha

De bonne trouvaille. Cela faisait longtemps, que je n’avait pas croisé des Français en bicyclette.

Deux personnes marche a coter du marché de Dien Bien Phou avec un sac Ortlieb - Hourra !! « Des cyclistes ». Armelle Jolly et Gerald Combe, super couple, des fou de la pédale et de la danse.

On peut les retrouvé sur
www.asieendanseuse.com

dimanche, décembre 07, 2008

Dien Bien Phu a Oudom Say (Muang Xay) sur la route 4

Assis sur tronçon de bois, on comprit
de suite le future de ce pays qui est pas très optimiste pour sauvegarder ces belle forets.

Muang Khoua petit port fluvial nous avons traversé la fameuse rivière Nam Ou et de Nam Pak, par un chaland qui est tenue par un câble et pousser par un bateau, on a payer 6000 Kip ce qui est moins cher et plus pratique des petites barques. Retour sur du bitume maintenant continuant sur la route 4

Croisement d’écoliers le matin et nombreux sont les « Sabadii » qui veut dire bonjour avec de grand sourire

Accueillis avec un somptueux paysage.

Un pays très montagneux et très boisés, les montagnes seront ici pour un long moment ,mai les arbres pour très peu de temps.



On est toujours sur la route 4, un chemin de cailloux. Bien praticable en saison
sèche(Nov a Mars) par contre en saison de pluie un parcourt très pénible.




Zone non touristique
Bien praticable en saison sèche.



Longeant la rivière Nam Pak.



Bivouac air de repos au bord de la rivière Nam Pak a 7 km de Sinxay.

Circulation quasi non existante