lundi, décembre 24, 2012

Attention Vidéo Choquante, cruauté et BARBARIE EN CHINE


Le 25 Décembre, passage dans un village Chinois, horrible tuerie d’un animal, pour se nourrir, ces gens  ne meurent pas de faim, juste pour le plaisir de la bouche.



Une courte vie de misère
Aucune loi ne protège ces animaux et la notion de bien-être animal n’existe tout simplement pas. Pour répondre à la demande, des élevages intensifs de chiens se sont développés. Aucune règle, aucune déontologie ne régit ces établissements. Les conditions de vie sont déplorables.



C'etait le jour de Noel. Et pas pour tous.

vendredi, octobre 05, 2012

Birmanie toujours en péril.

Birmanie entre bouddhisme et dictature militaire. Officiellement dirigée par une junte militaire, considérée comme une des pires dictatures de la planète. . Le bouddhisme en Birmanie est d'une manière prédominante de la tradition Theravada mêlé avec les convictions locales. Selon le gouvernement militaire, il est pratiqué par 89 % de la population. Sangha (bouddhisme)qui peut être traduit par communauté, désigne, dans son sens le plus restreint, la communauté spirituelle des arya-bodhisattva La moitié de la population vit sous le seuil de pauvreté L'espérance de vie y est de 56 ans, soit 15 ans de moins qu'en Thaïlande, et la mortalité infantile de 70 ‰, soit presque quatre fois plus que dans le royaume bouddhiste voisin. A cela s'ajoute une épidémie de sida parmi les plus importantes d'Asie, avec une population de séropositifs d’environ 200.000 personnes dont l’expansion rapide risque de causer à moyen terme un problème majeur pour la région dans son ensemble. Les Birmans souffrent d’une pauvreté croissante, liée tant aux politiques économiques désastreuses (le taux d’inflation serait supérieur à 50% et le système bancaire totalement archaïque) qu’au sous-investissement chronique dans l’éducation et la santé. La Birmanie est un pays doté d’un fort potentiel agricole. Pourtant, des politiques économiques désastreuses, les aléas climatiques, et la marginalisation de certains groupes de la population affectent les opportunités d’accès à l’alimentation. L’insécurité alimentaire est particulièrement forte dans les zones frontalières, là où vivent les minorités ethniques. la population est d’une gentillesse inouïe et la criminalité est quasi-inexistante, et d’autre part (ce qui est moins gai), la dictature fait pression sur la population pour qu’elle accueille les touristes convenablement, et les contrevenants s’exposent à de lourdes sanctions. Le recours au travail forcé est un fléau national en Birmanie. Dans ce régime proche d’un système féodal, militaires et autorités locales s’arrogent le droit de réquisitionner hommes, femmes et enfants, voire de saisir leurs terres et leur argent. La production d'opium est abondante et favorisée par le régime. Le pavot rapporte au pays davantage de devises que toutes les autres exportations réunies. « L'argent de la drogue pollue toute l'activité économique de la Birmanie ». Le pays est considéré comme un des plus corrompus du monde (176e sur 178 dans l'indice de perceptions de la corruption 2010 de Transparency International43). Rangon son nom birman Yangon est formé de yan et koun , qui signifient « ennemis » et « manquer de », respectivement. Le nom peut donc être traduit comme « fin de la discorde », « fin du conflit ». Rangoon/Rangoun, quant à lui, vient probablement de la mauvaise prononciation de Yangon de la part des Britanniques. Le Lac Kandawgyi La pagode Shwedagon,dagon, ancien nom de Rangoon.Ce lieu saint bouddhique est le premier centre religieux de Birmanie car selon la légende, il contient des reliques de quatre anciens Bouddhas, dont huit cheveux du Bouddha Gautama. Le stûpa atteint 98 mètres. Sa base est faite de briques recouvertes de milliers de plaques d'or. Elle est entourée d'une forêt de 64 petits pagodons Colonne relatant la vie de Gautama. Siddhartha Gautama,dit Shākyamuni « sage des Śākyas » ou le Bouddha (« l’Éveillé »), est un chef spirituel qui vécut au vie siècle av. J.-C. ou au ve siècle av. J.-C., fondateur historique d'une communauté de moines errants qui donnera naissance au bouddhisme. Rangoon a le plus grand nombre d'édifices coloniaux de toute ville de l'Asie du Sud-Est Toutefois, le domaine de la construction voit un essor dû à l'investissement étranger (notamment de Singapour et de Chine). Beaucoup d'immeubles résidentiels et commerciaux ont été reconstruits ou modifiés au centre-ville et aux environs. Les voitures, quoique chères, sont de plus en plus vues sur les rues de Rangoon, et il commence à y avoir des problèmes de circulation routière. Le gouvernement restreint régulièrement l'importation de voitures étrangères ; le marché noir est donc la principale source de voitures neuves et d'occasion (elles viennent surtout de Thaïlande, puis du Japon et de la Chine). On conduit à droite ( comme en France ) quant au volant il est souvent lui aussi situé à droite ( comme en Angleterre ou au Japon ), cela a pour conséquence de nombreux accidents. Le gouvernement rationne le pétrole, donc la plupart des voitures roulent sur un mélange de pétrole du gouvernement et du marché noir. Dans la ville même il est interdit d'utiliser des vélos, des motos, et des rickshaws, une loi peu en pratique. La route de Birmanie est une route stratégique construite par les Britanniques durant la Seconde Guerre mondiale entre Lashio (Birmanie) et Kunming (Chine) pour approvisionner l'armée nationale révolutionnaire du Kuomintang qui luttait contre les japonais. Coupée par les forces japonaises en 1942, elle fut remplacée par un pont aérien et complétée par une route passant plus au nord entre Ledo (Inde) et le nord de la Birmanie (Ledo Road). Le nom de route de Birmanie a été donné à la route de ravitaillement entre la bande côtière d'Israël et la Jérusalem juive, construite par l'armée israélienne en 1948, en souvenir de la véritable route de Birmanie. Captivante route entre Lashio (835m alt) a Mandalay 350km. Le rickshaw reste le véhicule au plus pauvre. L'une des principales activités des birmans est l'agriculture. Munis de leurs chars à boeufs et outils en bois, 70% des actifs travaillent dans ce secteur qui représente 63% du PIB. Les populations musulmanes et chrétiennes font face à la persécution religieuse. Le gouvernement militaire a révoqué la citoyenneté des musulmans Rohingya de Rakhine Septentrional et des populations de minorité ethniques chrétiennes ont été attaquées. De telles persécutions ciblant des civils est particulièrement notable en Birmanie del’est, où plus de 3 000 villages ont été détruits ces dix dernières années. L'été 2012 a été marqué par une nouvelle flambée de massacres de musulmans commis par le régime bouddhiste de Birmanie (Myanmar). Les bouddhistes occupent l'État ​​Rakhan, où vivent environ 1,8 millions de musulmans rohindzha - une des minorités les plus opprimée dans le monde. China National Petroleum Corp (CNPC), la plus grande entreprise énergétique chinoise, débutera en septembre la construction d’oléoducs à travers la Birmanie, selon la presse officielle chinoise. Ils permettront d’abaisser le temps de livraison du pétrole et du gaz naturel en provenance d’Afrique et du Moyen-Orient, remplaçant la voie maritime passant par le détroit de Malacca, très encombré. Un pipeline de 1.100 kilomètres de long, transportant l’équivalent de 400.000 barils de brut par jour ralliera l’Etat Rakhine, en Birmanie, à la province du Yunnan, dans le Sud-Ouest de la Chine. Un oléoduc d’une capacité de 12 milliards de mètres cube amènera du gaz à Kunming, la capitale du Yunnan, en 2012, parcourant ainsi 2806 kilomètres. Les pipelines permettront également à la Chine de puiser dans les riches réserves énergétiques de la Birmanie. Le pays possède la dixième réserve de gaz naturel au monde. Les ressources naturelles de la Birmanie sont une cible majeure pour la Chine et pour d’autres pays asiatiques, dont la Thaïlande, qui refusent de suivre le programme de sanctions imposé par les pays occidentaux.

mercredi, septembre 26, 2012

L'Asie de l'Est n'est pas bouddhiste dans leur assiette.

la majorité de la population mondiale ne se nourrit de viande que par tradition, par commodité, par simple habitude ou pour le plaisir. Les Chinois, les Vietnamiens, les Coréens de Sud mangent toujours du Chien et les Japonais de la baleine. Ces animaux sont atrocement torturés : Battus, matraqués, ébouillantés vivants, écorchés vivants, étouffés, pendus, électrocutés, brûlés vifs, égorgés, noyés à l'aide de boyaux d'arrosage, rien ne leur est épargné! Pour la justifier, ils avancent un certain nombre de croyances, sans fondements scientifiques reconnus, sur les bienfaits de la consommation de viande. Voici une autre méthode utilisée autant pour les chiens que pour les chats: L'ébouillantage: On prend un chiot et/ou chaton et on l'attache tout près d'une grosse marmite d'eau bouillante. (Les autres animaux, témoins du massacre horrible de leurs congénères, attendent leur tour, pattes liées près de la marmite.) Comme des homards, les animaux sont lancés vivants dans la marmite, ( Vivant ) sauf que l'eau est maintenue à une température qui fait en sorte que l'animal ne meure pas sur le coup! Rappellez-vous que selon les croyances, il ne faut pas que la mort de l'animal soit rapide! Imaginez ces pauvres bêtes, aveuglées, se débattant pour lutter contre la mort qui ne viendra les soulager qu'après de longues heures d'effroyables souffrances! Ces animaux ne connaissent ni l'affection ni la liberté. Ils sont entassés dans des cages tellement petites que plusieurs suffoquent. Seule la mort les délivre de leur enfer! D'autres mises à mort consistent à placer les chiens dans une cage ronde faite de fil barbelé. À l'aide d'un bâton, au bout duquel une corde est fixée, ( Noeud Coulant ), on attrappe la tête de l'animal et on le sort de la cage sans ménagement. Une fois sorti de cette cage, l'animal est battu violemment avec un bâton muni d'un pic à son extrémité. Pendant plusieurs minutes, on assénera ainsi quantité de coups sur le corps de l'animal puis un autre coup lui sera donné sur la tête, juste assez fort pour le rendre semi-inconscient. Encore vivant et conscient, l'animal sera ensuite dépecé. Nous pourrions vous expliquer plusieurs autres méthodes de mise à mort, mais nous préférons vous les montrer en images. Cliquez sur "Suivant" pour les visionner. Nous faisons ici une mise en garde contre ces photos horribles ( les coeurs sensibles s'abstenir ) qui ne sont, bien malheureusement, que la triste réalité du calvaire que vivent les animaux en Asie. Chaque pays et chaque ville en Asie a ses propres méthodes de mises à mort ( Tapei, Taiwan, Philippines, Corée du sud, Vietnam, Cambodge etc...). Le shark finning (en français, non littéralement, découpe des ailerons de requins) est une activité consistant à pêcher spécifiquement des requins pour leur couper uniquement les nageoires, qui serviront à la préparation d'une soupe traditionnelle chinoise. Dans la forme la plus barbare de la pratique, le requin pêché est hissé sur le pont, les pêcheurs tranchent à l'aide d'un grand couteau la nageoire dorsale, les nageoires pectorales et le lobe inférieur de la nageoire caudale. Le reste du corps ayant une moindre valeur commerciale, le requin souvent encore vivant est rejeté à la mer, amputé de ses nageoires donc incapable de se mouvoir afin d'oxygéner ses branchies, et périt d'une lente asphyxie Le bouddhisme est principalement populaire en Asie du Sud-Est, au Tibet, au Japon et à Taïwan, et renaît en Chine populaire Les cinq préceptes, communs à tous les bouddhistes (laïcs et moines) de toutes les traditions, sont : S'efforcer de ne pas nuire aux êtres vivants ni prendre la vie (le principe d'ahimsâ, « non-violence »), S'efforcer de ne pas prendre ce qui n'est pas donné, S'efforcer de ne pas avoir une conduite sexuelle incorrecte ─ plus généralement garder la maîtrise des sens, S'efforcer de ne pas user de paroles fausses ou mensongères, S'efforcer de s'abstenir d'alcool et de tous les intoxicants. Toutefois, ceux qui offrent de la nourriture au sangha( Moine Boudhiste) devraient se rappeler que la principale prémisse du bouddhisme est de ne pas nuire aux autres êtres, et ils devraient choisir ce qu'ils offrent en conséquence. Sur ce fondement de non-attachement, la tradition mahayana insiste sur la compassion pour les autres êtres sensibles. Il est donc conseillé à un pratiquant de cette tradition de na pas manger de viande afin d'éviter d'infliger des souffrances au moindre des êtres, et afin d'empêcher des bouchers potentiels de commettre des actes négatifs. Et aussi, l'énergie ignorante, luxurieuse ou agressive d'un animal peut affecter un pratiquant ordinaire qui mange la viande de celui-ci, ce qui n'aide pas ce pratiquant à cultiver la grande compassion. Les pays bouddhistes actuels sont-ils végétariens ? non en grande majorité. Excepté le Sri Lanka qui est de culture indienne, en Thaïlande, en Birmanie, au Vietnam, en Chine, au Japon, en Corée, etc... les gens ne sont pas végétariens. Pourtant, l'un des cinq préceptes de base que tout bouddhiste doit respecter, y compris les laïcs, est de ne pas prendre la vie. Les gens contournent le précepte en arguant que l'animal n'a pas été tué spécifiquement pour eux, ce qui bien entendu relève d'une pirouette mentale alors que le Bouddha nous enseigne à voir les choses telles qu'elles sont. Les bouddhistes thaïlandais et birmans mangent encore plus de viande. Ils disent qu'ils mangent ce qu'on leur donne mais si, depuis des centaines d'années, ils apprennent aux laïcs tout un tas de choses - comme des façons compliquées pour les femmes de faire des offrandes sans les toucher - ils auraient aussi pu leur apprendre à ne pas leur offrir de la viande.

samedi, juillet 14, 2012

Dans la profonde jungle de Bornéo, a la rencontre du peuple Penan.

Les Penans Peuples en peril. (Photo de Ptg). Le terme Punan ou Penan (ou encore la transciption Pnan) désigne une population de l'île de Bornéo. Autrefois nomades chasseurs-cueilleurs. Ils sont l'un des derniers de ces restants. Nous les avons rencontrés dans la profondes jungle deSarawak, Bornéo, chez eux, a 1h30 d’avion, 4 heures de voiture, 2 heures de bateau et une heur de marche . Long Kerong. Autrefois nomades chasseurs-cueilleurs, les Penans habitent maintenant dans des villages et cultivent une partie de leurs aliments. Les Penans sont connus pour leur pratique de la «Molong 'ce qui signifie ne jamais prendre plus que nécessaire. Ils se nourrissent de plantes, qui sont également utilisés comme médicaments , et les animaux et l'utilisation des peaux, des peaux, de fourrures et d'autres parties de l'habillement et le logement. Certains, généralement les jeunes générations, désormais cultive du riz , des légumes et font du jardin, mais beaucoup comptent sur leurs régimes de sagou (amidon à partir du sagoutier ), des fruits de la jungle et de leurs proies, qui incluent généralement le sanglier , le cerf aboiements , cerfs communs, de la souris , mais aussi des serpents (en particulier le python réticulé ou kermanen), singes, oiseaux, grenouilles, lézards de moniteur, les escargots et même des insectes tels que sauterelles . Depuis qu'ils pratiquent «Molong», ils posent des contraintes sur la forêt: ils comptent sur elle, a leur fournit tout ce qu'il faut. Ils sont environ de 16.000, dont seulement environ 200 vivent encore une vie nomade. La famille se repose apres une longue marche. Ils peuvent être considérés comme un groupe autochtone ou «tribu» dans leur propre droit, avec une langue distincte des autres groupes autochtones voisins tels que le Kenyah , Kayan , muruts ou Kelabit . Ce sont des chasseurs remarquables et attraper leurs proies en utilisant un «lepud» ou au chalumeau , fabriqué à partir de l'arbre Bilian (superbe bois ) et taillé avec une précision incroyable avec une perceuse osseuse - Making blow pipe le bois n'est pas divisé, comme c'est le cas ailleurs, de sorte que le trou doit être précis au millimètre près, même sur une distance de 3 mètres. Les fléchettes sont fabriqués à partir de la sagoutier et se termine par un poison latex d'un arbre (l'arbre appelé Tajem) ont trouvé dans la forêt qui peut tuer un humain en quelques minutes. Tout ce qui est pris est partagé comme les Penan ont une très tolérant, généreux et égalitaire de la société, si bien que l'on dit que les Penan nomades n'ont pas de mot pour «merci» parce que l'aide est pris en charge et ne nécessite donc pas un « je vous remercie ». Toutefois, «jian kinine 'est généralement utilisé dans les communautés sédentaires. Penan résistance à la déforestation au Sarawak L'armée et la police est venue à notre blocus et nous ont menacés et nous a dit de prendre vers le bas notre barricade. Nous avons dit 'nous défendons notre terre. Il est très facile pour vous en tant que soldats et policiers. Vous êtes payé. Vous avez de l'argent dans vos poches. Vous pouvez acheter ce dont vous avez besoin, le riz et le sucre. Vous avez de l'argent à la banque. Mais pour nous, cette forêt est notre argent, c'est notre banque. C'est le seul endroit où nous pouvons trouver de la nourriture» Lutte des Penan ont commencé dans les années 1960 lorsque les gouvernements indonésien et malaisien ouvert de vastes zones de l'intérieur de Bornéo à l'exploitation forestière commerciale. Dans la plupart des cas, les concessions d'exploitation forestière plus grands et les plus lucratifs est allé aux membres des élites politiques et économiques de l'île. Avec une augmentation de la demande mondiale pour le bois à l'époque, ces concessionnaires commencé à percure tous les arbres commercialisables à partir de leurs avoirs. les communautés Penan semi-nomades et nomades étaient et sont tributaires de produits de la forêt, ils ont été durement touchés par la grande échelle des opérations forestières qui empiètent sur leurs territoires traditionnellement habités. L'exploitation forestière a causé la pollution de leurs zones de captage d'eau avec le déplacement des sédiments, la perte de nombreuses sagou palmiers qui forment la base de glucides de l'alimentation Penan, la rareté des sangliers, des chevreuils et autres gibiers, la rareté des arbres fruitiers et des plantes utilisées pour la médecine traditionnelle des forêts , la destruction de leurs lieux de sépulture et la perte de rotin et d'autres plantes rares et des espèces animales Pour les gens de la forêt de Bornéo, comme d'autres tribus indigènes, ces plantes et les animaux sont également considérées comme sacrées, comme l'incarnation des esprits puissants et divinités. Ainsi, les Penans a fait de nombreuses plaintes verbales et écrites aux sociétés d'exploitation forestière et les autorités locales. Ils ont fait valoir que les compagnies forestières ont été localisés sur des terres que les Penan dans un traité antérieur, reconnu par le gouvernement de l'État du Sarawak, et ont été en violation de leurs droits coutumiers autochtones. Il a également été affirmé que les plans d'exploitation forestière n'ont jamais été discutés avec le Penan ont commencé avant l'abattage En 1987, le gouvernement de l'État a adopté la modification de la S90B Ordonnance sur les forêts, qui a fait obstruction à la circulation le long d'une route forestière au Sarawak une infraction majeure. En vertu de cette loi, les affrontements se termina par plusieurs morts, de nombreux blessés et à grande échelle arrestations des populations autochtones. Beaucoup de détenus ont déclaré avoir été battu et humilié pendant sa détention. Des centaines de personnes ont été tuées dans ces rencontres et des milliers d'autres ont été contraints de vivre dans des camps de réfugiés. Parce que les deux factions en guerre ont différentes origines raciales et religieuses, les médias internationaux a souvent signalé ce conflit comme aminosity ethnique. Plutôt, c'est la poursuite de la richesse des ressources par les gouvernements puissants et des entreprises, malgré la forte résistance des résidents locaux, ce qui a provoqué les combats. L'exploitation forestière continue à dominer la politique et l'économie au Sarawak et l'ambition du gouvernement sur le bois de Penan de terrains proposé ancestrale se poursuit également. Taux de la Malaisie de la déforestation est le plus élevé dans le monde tropical (142 km ² / an) de perdre 14,860 kilomètres carrés depuis 1990. La forêt de Bornéo pluie de plaine , qui est le principal habitat des Penan, mais il a aussi les arbres les plus précieux, a pratiquement disparu. L'avenir des Penans a été un sujet controversé depuis la confrontation entre les droits des autochtones et l'État d'utilisation des terres a commencé. De nombreux politiciens malaisiens ont critiqué les ONG pour s'ingérer dans les affaires intérieures et la Malaisie ont accusé d'avoir tenté d'inhiber des projets de développement et de garder les Penan »développée» et non assimilés dans la société malaisienne. La plupart voient mode de vie des Penan comme barbare et archaïque. les Penan sont plus pauvres que jamais, confinés dans des conditions de vie sous-types qui, en dépit des promesses du gouvernement, n'ont pas la plus élémentaire des équipements et des infrastructures. Ceux qui sont contraints de vivre dans des colonies du gouvernement sont constamment fatiguée par la nourriture fréquentes pénuries et la mauvaise santé, avec peu d'accès aux soins de santé (insuffisance). Leur âme et celle de la forêt sont indéfectiblement liées. La survie de la forêt va de pair avec la leur. Apres cet inoubliable rencontre avec les Penans, ma famille ma beaucoup manqué. M’évoquant, la famille c’est sacré, surtout nos parents plus que nos enfants, car ils sont nos racines. Ils nous ont apprit en premier à dire merci. Nous devons protéger et respecté nos peuples autochtones, indigènes, et nomades, ils sont les éléments clés de toutes les civilisations : le feu, les langues, les religions, l'équitation, l'agriculture, l'élevage, la métallurgie, la navigation, la roue, la démocratie, le marché, la musique, les arts, ne laissant aux sédentaires que l'invention des forteresses, de l'Etat et de l'impôt. ils sont nos racines. Ils ont été les premiers. Nous devons leur dire merci. Dans presque toutes les sociétés, les peuples autochtones et indigènes sont plus pauvres que la plupart des autres communautés. On rencontre des disparités du même ordre dans le domaine de l'éducation. En outre, même lorsqu'ils ont reçu la même instruction que la majorité de la population, les indigènes font encore l'objet de discriminations sur le marché de l'emploi. Aujourd'hui ils disparaissent les derniers peuples nomades sous les coups de la globalisation.