jeudi, mars 16, 2017

Le voyage thérapeutique au détriment de la planète

Nous demandons aux étrangers d’être exemplaire, mais nous ne sommes pas un modèle nous même !
Lorsqu'on on voyage, nous détruisons sans conscience notre entourage, voir une transmutation des plus beaux sites du monde. 
Pouvons nous faire mieux avec notre éducation et être exemplaire? 
La réponse est 'oui'.

Nous sommes émigrés, expatriés, réfugiés, étrangers, touristes, voyageurs, nomades tous nous laissons  une empreinte écologique sur cette planète.

Le plus néfaste est le voyage thérapeutique au détriment de la planète, qui déforment la terre.
C’est quoi le voyage thérapeutique ? 
Tout simplement voyager pour se faire du bien, sans s’inquiéter au conséquence de ses actions. 
Je voyage et je m’en fiche!
 Je pense à moi, regarder moi.Pendant que la vie local crève de faim et avec tous ses dommages collatéraux.
Voici les problèmes et les commandements aux touristes, pour du durable:

Pollution Quelle sont les conséquences ? 
 : L’avion est le moyen de transport le plus polluant : il émet trois fois plus de gaz à effet de serre que la voiture.  Le transport aérien représente actuellement 3 % des émissions de CO2 avec un effet sur le réchauffement de l’ordre de 6 %  . Son bilan carbone est très mauvais : par kilomètre passager parcouru, l’aviation émet environ 10 fois plus que le train. Depuis les années 1990, les efforts d’efficacité énergétique (plus de passagers par avion, moteurs plus économes) ont été plus qu’annulés par « l’effet rebond ». Le trafic aérien est le secteur économique qui voit ses émissions de CO2 augmenter le plus rapidement, doublant tous les dix ans environ. Pour le dire simplement, l’aviation est incompatible avec l’impératif climatique de diviser par 4 avant 2050 nos émissions de CO2.
Si l’avion est aussi polluant c’est qu’il ne s’agit pas d’un simple moyen de transport. L’avion est avant tout une arme. L’avion a d’abord servi à tuer des gens avant de les transporter. Et c’est son origine létale qui explique ses effets climatiques dévastateurs.
Solution : Les moyens de transport verts tu privilégieras.
Évitez l’avion ou la voiture, qui émettent des quantités considérables de CO2. Marche à pied, vélo, bus, covoiturage ou encore trains: de multiples solutions s’offrent aux voyageurs pour limiter les émissions de gaz à effet de serre. Et s’il n’y a vraiment pas d’autre moyen que l’avion, le voyageur responsable pourra choisir de compenser financièrement ses émissions de CO2.
Compenser ses émissions de CO2
Plusieurs associations proposent de « compenser » ses émissions de CO2 (d'avions, de voiture ou autres), en participant au financement de projets d'efficacité énergétique. Sachant qu'en plus, les 2/3 du montant payé est déductible des impôts. Par exemple, pour un aller-retour Paris-New York en classe économique, en avion, on versera environ 50 euros (soit environ 17 euros après déduction fiscale).




Tourism en Mass maladie fatale. Il convient de bien choisir sa destination… et d’éviter les pièges à cons, largement infectés par le cancer du tourisme de masse comme Cancún, Bali, Cozumel, le Mont-Saint-Michel ou Venise et beaucoup d’autres… Des régions parmi les plus belles du monde sont malades. Elles sont atteintes d’une maladie qui peu a peu les enlaidit et les affaiblit en dévastant l’environnement et en écrasant les populations. Ses symptômes sont la pollution écologique et culturelle, la dépossession des populations de leurs territoires, l’exploitation de celles-ci et l’utilisation démesurée des ressources naturelles.
Solution: avec soin tu choisiras.
 Adapter la destination, choisir un pays qui respecte l’environnement... Tout est dans la préparation du voyage. Éviter les périodes Scolaires dans les lieux touristiques. Voyage local ce n’est pas banal. Éviter heure de pointe. ( exemple la tour Eiffel très jolie dimanche à 5h du matin avec lever du soleil).



 Non respect au locaux :Le tourisme est source de corruption, d’inégalités et de concurrence effrénée ; il est même à l’origine d’atteintes aux droits de l’homme, notamment à travers le fléau du tourisme sexuel. On ne peut pas ignorer la misère comme on le fait dans le métro
Solution :La population locale tu respecteras «Le tourisme durable est avant tout basé sur la notion d’échange et de respect», insiste le site Voyagespourlaplanete.com. Concrètement, on se pliera aux habitudes locales et on respectera les traditions. S’embrasser en public choque dans certaines cultures, tout comme être habillé de façon trop dénudée. Et ouvrir les yeux et se dire « je peux faire quelque chose à mon échelle, même si c’est pas grand-chose, je peux participer aux projets qui œuvrent pour un monde meilleur… » 

Pollution sur le plan environnemental; Rien de pire qu’un paysage paradisiaque pollué par des sacs plastiques déchets ou des montagnes de déchets à perte de vue, d’où s’échappent des fumées de gaz toxique liés à la décomposition. Et de défécation derrière des buissons, dans une forêt, dans les champs,  le papier toilette qui s’envole dans les buissons.

Solution  : Tes déchets tu emporteras.
Alors pensez à emporter de quoi emballer vos détritus pour les ramener dans un lieu adapté. Pour les piles électriques et autres matériaux recyclables, ça peut parfois vouloir dire jusqu’en France... Dans tous les cas, préférez les équipements réutilisables (une gourde plutôt que des bouteilles en plastique, par exemple). Pour vos besoins si vous vous sentez obligez de le faire dans la campagne enterrer vos défécation minimum 10cm.

Consomption excessive des ressources naturelle. L’eau, denrée rare dans les pays chauds, y  sont particulièrement gaspillés au sein des grands complexes hôteliers, au détriment des populations locales (eau courante, irrigation, etc.). En moyenne dans les régions tropicales, 27 litres d’eau sont consommés par jour et par habitant contre 100 litres par jour et par touriste (données 2005 maintenant pire).
Solution: Les ressources naturelles tu respecteras.
L’eau est très précieuse dans certaines régions du globe. Alors plus qu’ailleurs, privilégiez des douches rapides plutôt que des bains. Idem pour l’électricité: certains pays ne sont pas indépendants énergétiquement: limitez notamment l’usage de la clim. Et si vous dormez dans un hôtel où les draps et les serviettes sont changés quotidiennement, demandez à les conserver plusieurs jours: moins de détergents et moins d’eau consommés! Grands complexes hôteliers au détriment des populations locales qui ne bénéfice pas des profits.


Solution :Le commerce local tu favoriseras.
Plutôt que faire tourner de grands groupes, autant choisir hôtels, restaurants ou magasins locaux, qui permettent de faire fonctionner l’économie de la ville ou du pays.



La biodiversité tu préserveras.
On n’arrache pas les plantes lors des balades: il peut s’agir d’espèces en voie de disparition. Pareil avec le corail, en mer.

Les animaux tu respecteras.
Là aussi, attention aux espèces en voie de disparition. On n’embête pas non plus les animaux sauvages en pleine nature.  On ne torture pas les animaux pour une photo. Et évidemment, on bannit le braconnage ou l’achat d’objet qui en sont issus (ivoire par exemple). Il n’est pas nécessaire de manger du chien ou autre animaux qu’on a fait souffrir pour un selfie.







Des équipements intelligents tu utiliseras.
Chargeurs solaires, lampes de poche à dynamo, etc.: place aux durables, et ça vous fera des économies de piles. Et pour le reste, on évite de polluer en favorisant un lait solaire plutôt qu’une huile (qui polluera plus dans l’eau) et on ne se baigne pas juste après l’application.
Le patrimoine tu respecteras.
Sur les marchés de souvenirs attention aux objets sacrés revendus, qui dépouillent le pays de ses richesses.

Nulle est parfais,mai si vous pouvez ajouter votre goutte d’eau,nous pourrons avoir un monde meilleur. 

  

Note philosophie est: si tu ne déposes pas d’empreinte de pneu de vélo ,tu est un héro !!
Bon Voyage!!