Arrivé a Jaipur, avec bien entendue un peu de circulation.
Une des merveilles de l'architecture rajput.
Le palais des vents.
Les centaines de fenêtres et balcons (953, semble-t-il) qui ornent sa façade sur cinq étages sont construits de façon à permettre aux femmes du harem royal de voir à l'extérieur sans être vues en retour.
Nous sommes invités a un mariage Râjasthânis plus de 7000 personnes y sont invités.
Les femmes sont séparés des hommes.
Fort de Jaipur, Nahargarh. Le fort a été initialement nommé Sudarshangarh , mais il est devenu connu sous le nom Nahargarh , qui signifie « demeure des tigres .
Jal Mahal « Palais de l'Eau »
Birla Temple
Le Cheval Marwari
Connu pour ses oreilles étrangement incurvées vers l'intérieur en forme de croissant de lune, une particularité unique chez les équidés, il peut porter toutes les robes, bien que les patrons de robe pie aient tendance à être plus populaires auprès des acheteurs et des éleveurs. Il est connu pour sa rusticité,fidélité et sa bravoure au combat. La race s'est détériorée dans les années 1930, lorsque de mauvaises pratiques de gestion ont entraîné une réduction du cheptel des reproducteurs, mais elle retrouve désormais un peu de sa popularité. Le Marwari est utilisé comme cheval de trait léger afin de réaliser divers travaux agricoles.
La vache Zébu.
escendant d'une sous-espèce indienne de l'aurochs. Le mot zébu vient du tibétain « zeba » signifiant étymologiquement « bosse ».
L'Inde compte plus de potiers que n'importe quelle autre partie du monde
Pédaler, c’est retrouver l’essence même du voyage. Pédaler, en un mot, c’est d’ailleurs voyager, quand l’avion au mieux ne permet que de vous déplacer. Enfin, pédaler, c’est prendre son destin en main plutôt que de le subir.
lundi, novembre 11, 2013
vendredi, novembre 01, 2013
Pollution sonore en Inde .
On parle beaucoup de pollution, un peu partout dans le monde. Il s’agit souvent de la pollution atmosphérique, rejets de gaz etc. En Inde, vous pourrez faire l’expérience d’un autre genre : la pollution sonore. Oui, au delà du choc culturel habituel, l’une des choses du quotidien qui frappent (littéralement les tympans) est ce bruit, brouhaha, omniprésent à tous les niveaux.
Dans la rue tout d’abord, un vacarme mêlant moteurs en tout genre (les fameux rickshaws, les motos en majorité, et voitures) et concert de klaxons incessant. Pour celles et ceux dont la chambre donne sur une rue un peu fréquentée, vous serez réveillé par la circulation tous les jours. Autre exemple, je n’ai jamais réussi à entendre mon téléphone sonner dans la rue, même avec le volume réglé au maximum.
D’ailleurs, parlons de ces téléphones… Le comportement commence à changer peu à peu, mais vous aurez aussi la chance de re-visiter le répertoire musical indien au travail, la sonnerie de tout un chacun étant maintenue à un volume plus que respectable sur le lieu de travail !
(Blow Horn traduit:Soufflez klaxon).
Il ne reste plus qu’à ajouter les autres lieux de vie (centres commerciaux, restaurants…) dans lesquelles la densité de population crée par définition un brouhaha important, chez soi, où il suffit de lancer le ventilateur pour avoir un petit bruit de fond constant (oh je vous rassure, presque inoffensif ici… quoique), pour se rendre compte que le bruit est une composante à part entière des villes indiennes.
Alors on s’habitue… Ou pas. De toute façon, il n’y a guère le choix !
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