jeudi, août 25, 2005

Une petite merveille


SLOVENIE pays marginal de l’ex-Yougoslavie pour les amoureux de la nature vierge et des montagnes, c’est l’idéal et l’eau minéral on la directement au robinet.

Nous avons découvert la Slovénie le 23 Août 2005, ne faisant pas trop confiance a notre guide touristique, on a donc questionner la plut part des gens dans notre entourage pour avoir une petite idée, effarements, il y a peu de monde qui connaissent ce pays, et beaucoup moins qui peuvent placer la Slovénie sur la carte de l’Europe, et si ils le peuvent c’est parce que ce sont des gens de pays frontaliers. Nous avions peu de penser à ce qu’on allait découvrir. Nous sommes arrivé sans aucun préjuger.

PREMEIRE RENCONTRE
On apprécia la rentrer dans ce pays a l’air pure, aux terres très fertiles et aux denses forets c’est exactement ce qu’on avait besoin après une épuisante traverser de Italie en pleine saison estival.

Partant d’Udine en Italie de tôt matin sur une route avec beaucoup de circulation jusqu’a Cividale Del Friuli qui est a 135m, le trafic se modéra un peu , on commença a entendre des chants d’oiseau, remontant une petite rivière sur notre gauche de Fiume Natissone de couleur bleu glacier, sillonnant les derniers villages Italien, de San Pietro, Brischis, On commença à entrevoir de très belles forets.
En 41km on arriva à la frontière Slovéniene, les douaniers d’un sourire très curieux regardaient notre équipage sur le vélo, s’en pressaient de voir notre passeport pour connaître notre nationalité et destination. Lisant d’un air intéresser et étonné de voir un visa pour l’Algérie? « Français and English « Il me répondit ; on the bicycle? Hé oui! Je lui demandais de tamponner mon passeport pour ma collection, sachant bien qu’il ne tamponnait plus depuis l‘entrer en Europe, le douanier très fier de ma demande, proposa de tamponner celui de Stani pareillement «no thank you» elle répondu ; le douanier de son plus beau accent anglais lui répliqua « don’t you like Slovénie? Non ce n’est pas ca, j’ai trop de tampons sur mon passeport pour finir mon voyage. Ne lui laissant pas le temps de s’exprimer plus ; nous partions avec nos bécanes comme des sauvages. Quel dommage !Il voulait surement pratiquer son Anglais, car ce n’est pas avec les Italiens qu’ils peuvent pratiquer la langue international, il y a peu de circulation en ce moment, de ce fait ils étaient contents de rencontrer deux voyageurs en bicyclette de nationalité différente avec des passeports aux tampons de distinctes couleurs. C’est dans c’est moment qu’on se sent un peu coupable de ne pas communiquer assez avec les locaux, on pourrait aussi prendre 10 ans pour voyager et on n’aurait peut être pas plus de temps de le partager avec les gens qu’on aimerait. Avoir des vélos c’est aussi de pouvoir rencontrer des gens ? Nos bicyclettes sont charger comme des mulets ce qui est une bonne excuse pour prendre sont temps!!On devrait peut êtres faire de la marche a pied?
Escorter d’arbre sur le bord de la route, on se trouva de suite dans un milieu très naturel, on pensait d’êtres dans un parque national ; et bien non, on était arrivé tous simplement en Slovénie. Tous semblaient a sa propre place, une harmonie c’était créer entre la nature et l’homme, montrant que les deux pouvait vivre totalement ensemble, se respectant et se protégeant. A cet instant on commença à écouter le vrai silence de ce pays, que du bonheur, mais pour combien de temps?

SOCA LA BELLE RIVIERE-- VRSIC LE COL DE L’ENFER
Kobaride 8km de la frontière, un joli petit village de passage, un grand lieu mémorable d’une grande bataille de 1917 en pleine guerre mondial, très disputer par les autrichiens les Allemands et sous le control des Italiens jusqu’en 1945, personne pour les aider non plus, une seule survivante la montagne de Krn 2 244m, qui observa tous les problèmes d’une grande bataille pour enfin y trouver la paix chez elle en Slovénie, il y a 60 ans maintenant.

Sortant du village, nous avons fait une rencontre avec la rivière «Soca»: la glorieuse, la furieuse, la majestueuse et l’inoubliable, elle prend sa source dans les plus hauts sommets du pays, pas loin de la montagne Triglav 2864m, Soca connut la guerre aussi on l’utilisai pour une ligne de front; un million de soldas et de civile sont mort ici, le sang devait coulé a flot ,Soca est plus connue pour ces multiples attractions, des gens viennent de très loin pour exercer sur son dot le kayak, le canoë, le rafting long de 10 km, l’idéal pour les fanatiques des sports aquatique, sa couleur est vraiment superbe un bleu turquoise sur ses coter et au milieu vert crème fraîche [ne pas me demander de commenter sur le vert crème fraîche !!] Nous décidions de passer notre première nuit a ces coter, sans aucun problèmes on a pue camper sauvage, le bruit de l’eau me poussa a me réveillé au milieu de la nuit, sortant de la toile pour soulager mes besoin et le « grand spectacle »la lune et les étoiles étaient au rendez vous. Me rappelant que chaque étoile dans le ciel était une personne de ma famille ou un ami, ils seraient toujours la quand je désirai de les voir.

Le lendemain très beau temps, de nouveau paysage nous attendait, on pour remonter la vallée Soca, visitant la magnifique cascade Boka aussi populaire par les touristes. On s’arrêta a n’importe quel opportunité juste pour admirer cet extraordinaire vallée et aussi de sentir les derniers parfums l’été au parfum de foin sec et de luzerne, regardant les maisons chalet de très haute toiture en grosse poutre en bois et en ardoise noire, les balcons étaient bien garnis de géranium de plusieurs couleurs. Après 19 km de faut plat qui paraissait 30km nous sommes arriver a Bovec 460m connut pour sa station de ski et de son terrible tremblement de terre en 1998; 60% des maisons ont été sérieusement endommager mais on été reconstruite très vite ce qui fait une ville maintenant commercial qui a perdue tous de son charme, par contre un bon endroit pour faire ses provision ,il n’y a besoin de trop se charger en nourriture car les village son prés les uns des autres. Apres Bovec on a prit la route 203 toujours en légère montée suivant notre rivière préférer, 18km Trenta 620m. Nous arrêtions dans un camping (camp Triglav) une fois très rare, on entendue dire qu’il était strictement interdit du camping sauvage dans le parque national de Triglav pour une amende de 100 Euro, sans risque pour nous, (recommandation d’un cycliste de Lubjvana) on en profita pour une prendre une douche pas très très chaude (bizarre on sent souvient toujours quand t’on paie).

Par plusieurs occasions nous avions demandé a un groupe d’internautes Slovènes de nous conseiller quelque route, la plut part d’eux recommandèrent la route qui va au col Vrsic qui est a 1611m le plus haut col du pays, rien que ca ? Nous avions aussi entendue par nos collègues cyclistes Italien, que cette route était surnommé « le col de l’enfer » pour le Giro Italie, chicken (mauviette) ils n’ont pas de bagages eut, répondit Stani.

Nous partions très tôt, après un petit déjeuné de champions (flacon d’avoine) yaak , je déteste ça. Une journée de 26km : 1020m de grimpettes en 10km de 22 lacets du 10% a 12% de monté, enfin de la vrais montagne, nous avions l’altitude et le nombre de virage indiquer a chaque tournant, on aurait pue se croire a l’Alpe d’ Huez, la différence c’est qu’il y a moins de touristes ici, et nous sommes dans un parque National entourer d’énorme foret de pins et d’oiseaux qui chantent. Se disant bien qu’on on avait plus de 5 heures pour arriver au sommet ce qui nous laissait du temps sans avoir de la pression.

Premier arrêt fut la visite du monument de Julius Kugy, un botaniste de classe, pionnier de nouvelle route dans les Alpes, il refusa de prendre une arme pendant la première guerre mondiale, il était un passionné des montagnes ; il nous inspirât beaucoup. Stani fit une chute de vélo se trouvant dans le bas fossé ; je me suis me retourné par un bruit d’une voix de secours et elle avait disparut ; j’étais très surprit de la retrouver la tête au ras du sol, elle voulait essayer de faire un peu trop de place a des randonneurs et elle glissa, on remonta son vélo, vérifiant qu’elle n’avait rien de mal .Nous continuions notre ascension ; profitant de chaque tournant pour admirer le paysage , nous étions surprit par des montées et des descentes de voitures et de bus, se laissant passer les uns après les autres par le manque d’espace a chaque tournant, le moins marrant c’était de sentir l échauffement des freins et des moteur de tous ces véhicules, les gens dans leur boite de métal nous criait des choses qu’on ne comprenait pas,( et on ne voulait pas comprendre non plus), c‘était peut êtres pour nous encourager ? ; me laissant aussi penser : qu’il n y a pas un automobiliste qui va s’arrêter pour nous donner de l’eau ou du chocolat ? Oubliant très vite cette idée, on fit une halte pour manger le reste du dîner de la veille le mélangeant avec de la mayo et voila !! Trop bon, (quand ton a faim les goût deviennent très simples on se trouve a manger presque n’importe quoi), savourant notre repas parmi cet belle nature se fut un vrai spectacle et avant de repartir on utilise la formule magique, une petite gâterie, pour moi c’est le beurre de cacahouète avec confiture et banane, oui je sais du grand luxe, mais on est en Europe quand même !!! , avec ça je pourrai passer n’importe quel col. Le plein d’énergie nous aide bien pour pédaler comme des forcenés. On est a mi-chemin, on peut maintenant découvrir le dessus de la vallée avec un plein soleil ; houa qu’est ce que c’est splendide. Il nous reste 4 km pour arriver au sommet ces les plus dur, me disant bien que je ne pousserais pas mon vélo, plutôt manger du chocolat ces meilleurs et de repartir, on fait une nouvelle pause, la vue est encore plus jolie, on voit les plus haut sommets de la région ainsi la notre qui est un tous petit sommet, ça fait du bien. On prend des sucreries comme si c’était des dopant, ça marche et ces bon ,Les 3 derniers Km c’est les plus long , je me force a penser qu’il n’en reste 6 km pour tenir jusqu’a ligne blanche l imaginable, je me prends pour Richard Virenque ,je regarde derrière moi et je vois seulement Stani (et ou est le pelletons?) Elle me tire la langue, elle se rapproche de moi. Le vent nous aide a finir les quelques derniers kilomètres, Il y a du monde sur la route cela doit êtres pour nous? 1 km c’est la lutte final avec nos muscle et notre sueur, ça ne fait plus mal aux jambes maintenant, un écart se fait je voudrai bien attendre Stani, mais cela veut dire aussi qu’il faut je m’arrête, impossible, quelque mètres pour en suite jouir a une belle descente de16 km, je pense qu’a ça.


Les gens ne son pas sur le bord de la route pour m’applaudir ? Que se passe-t-il ? Mais on nous regarde de loin, très bizarrement, ils se demandent «pourquoi ils ont tant de bagages?» c’est finit on est au sommet je mets le pied a terre. La température est sûrement tombé de moins 7°, le vent est glacial et fort, il fait froid, on s’habilla chaudement et on en profita pour se faire un bon chocolat chaud utilisant l’eau de notre thermaux qu’on avait précieusement fait bouillir le matin. On se laissa rêver se disant qu’on était au plus haut de monde dans un univers ou il y avait seulement des massifs montagneux.

Se couvrant de plus belle de tous nos vêtements d’hiver pour la descente très abrupte, impossible de faire de la vitesse de plus a chaque tournant le bitume se transforma en petit paver de 5cm², bas trop bon nos petite fesse, on allait doucement, essayant de reconnaître le pic de Triglav, soupçonnant que cela devait êtres le sommet le plus haut qu’on puis voir, le plus grande des montagne se cachât dans les nuages. On se fit mal au doigt en serrant nos frein comme des malades on a quand même loupé la visite de la Chapel Russe elle se situa a 100m du bord de la route, se mémorial de guerre ou 300 Russes au moins, prisonniers de guerre sont enterrer par une avalanche pendant qu’ils construisaient la route, beaucoup d’autre sont mort par la fatigue, la famine et la torture. Apres 12 km de super descentes on arriva a un immense plateau, ou se trouva un très large lac artificiel, très populaire pour ces promenade du dimanche. Arriver Kranjska Gora 809m, vers 16h nous lassant du temps visiter le village, et de se loger avec l’association « Hospitalité club ».

KRANJSKA GORA – LAC BLED- LAC BOHINJ
Kranjska Gora est très réputé pour sa station de sport d’hiver, l’été on y fait beaucoup de randonné pédestres, mais le plus connut dans la région c’et le saut à ski, ils ont un tremplin a ski le plus grand du monde, le dernier record est de 231m, houa hou !!! Les Slovènes ne font pas les choses à moitié, comme ce cycliste Jure Robic pédala 679.8 miles en une journée 13heures et 19 minutes, sans dormir, chapeau !!

Le vélo tout terrain est très populaire, il y a nombreuses pistes cyclables dans la région, pour ceci nous prenions une de ces pistes très bien indiquer et en bonne condition, nous dirigions vers le lac Bled en longeant la rivière Sava Dolinka, savourant bien le plaisir d’êtres dans une belle vallée en légère descente, a 13 km fut notre tournant traversant le petit village de Mojstrana 630m ,qui est l’entré pour la monté du sommet Triglav de 1864m et du glacier le plus large du pays :Vrata vallée est un endroit a ne pas manquer juste par la pureté de la vallée. Notre piste continua par un petit col de 847m pour se trouver dans la magnifique vallée de Radovna le paradis pour cyclistes a condition de trouver la bonne saison pour y passer car cet un chemin de terre qui peut se trouver en terrain de boue pendant les pluies, mais de très bonne condition , on peut rencontrer des cyclotourismes et tous le monde se dit bonjours en sa propre langues ,après avoir traverser une dense foret la route nous conduit directement en 15Km au plus romantique lac du pays « lac Bled » 501m, qui peut êtres le piège a touriste c’est sur ,mais ca vaut vraiment le coup d’œil un endroit unique par la couleur du lac vert émeraude, le château du XI siècle percher en haut d’une falaise et la Chapel sur l’îlot situer au milieu du lac font une très bonne photo postal. Sans se tarder pendant 35km de légère descente on traversa des beaux village de campagne au balcon toujours fleurie, on arriva au « lac Bohinj » 4km de long , 1km de large et profonde 45m a 320m altitude est dans le parque national de Triglav, un vrai bain des joie de la nature avec se coter magique on se croirait dan un immense amphithéâtre ou les acteurs seraient les montagnes ,les arbres et le lac pour le rôle principale ,une chance pour nous que nous sommes hors saison car cet endroit doit êtres bomber de tourisme l’été, pédalant seulement a moitié du lac et de retour sur le même circuit car la route ne fait pas le tour on apprécia vivement se somptueux paysage.

Le plut surprenant qui arriva fut d’entendre des grands coups de frein pour ensuite un boum de carrosserie, après quelque minute la police, les pompiers et l’ambulance nous doublait ils allaient très vite, après 3km on trouva un véhicule sur le capot et seulement un gendarmes, tous c’était passer très vite, sûrement un véhicule qui allait très vite car a vrais dire, il y a des fous du volant dans ce pays aussi. Effectuant un demi tour au bout du lac, ne passant pas la nuit au camping car les prix sont en proportion du tourisme.
La région de Bohinjska trouve dans un bassin entourer de montagne et de dense forêt ; pour avoir l’avantage de choisir on s’arrêta la nuit a 1000m alt. pour avoir une belle vue mais impossible de voir quoi de se soit par le nombre d’arbre mais c’est avec beaucoup de facilité qu’on a pue passer une nuit seul, en silence, dans une forêt mystérieuse.

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