Pédaler, c’est retrouver l’essence même du voyage. Pédaler, en un mot, c’est d’ailleurs voyager, quand l’avion au mieux ne permet que de vous déplacer. Enfin, pédaler, c’est prendre son destin en main plutôt que de le subir.
vendredi, novembre 01, 2013
Pollution sonore en Inde .
On parle beaucoup de pollution, un peu partout dans le monde. Il s’agit souvent de la pollution atmosphérique, rejets de gaz etc. En Inde, vous pourrez faire l’expérience d’un autre genre : la pollution sonore. Oui, au delà du choc culturel habituel, l’une des choses du quotidien qui frappent (littéralement les tympans) est ce bruit, brouhaha, omniprésent à tous les niveaux.
Dans la rue tout d’abord, un vacarme mêlant moteurs en tout genre (les fameux rickshaws, les motos en majorité, et voitures) et concert de klaxons incessant. Pour celles et ceux dont la chambre donne sur une rue un peu fréquentée, vous serez réveillé par la circulation tous les jours. Autre exemple, je n’ai jamais réussi à entendre mon téléphone sonner dans la rue, même avec le volume réglé au maximum.
D’ailleurs, parlons de ces téléphones… Le comportement commence à changer peu à peu, mais vous aurez aussi la chance de re-visiter le répertoire musical indien au travail, la sonnerie de tout un chacun étant maintenue à un volume plus que respectable sur le lieu de travail !
(Blow Horn traduit:Soufflez klaxon).
Il ne reste plus qu’à ajouter les autres lieux de vie (centres commerciaux, restaurants…) dans lesquelles la densité de population crée par définition un brouhaha important, chez soi, où il suffit de lancer le ventilateur pour avoir un petit bruit de fond constant (oh je vous rassure, presque inoffensif ici… quoique), pour se rendre compte que le bruit est une composante à part entière des villes indiennes.
Alors on s’habitue… Ou pas. De toute façon, il n’y a guère le choix !
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire