Attention ca mouille.
Les cyclistes qui vous promènent dans les rue de Phnom Penh c’est beaucoup mieux que les taxis à moteur. Pour aider les Cambodgiens qui en n’ont besoin, c’est facile. En route Simone !!
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Avec l'appui de la Chine, les Khmers rouges déclenchent une véritable guerre contre les forces gouvernementales. En sus de cette guerre civile, le pays est entraîné dans la guerre du Viêt Nam. Dès 1970 les Khmers rouges sont en passe de gagner, mais les États-Unis interviennent et sauvent provisoirement le régime républicain (avril-juin 1970). Mais lorsqu'en 1973 les États-Unis se désengagent de la région, leurs frappes aériennes n'ont pas réussi à arrêter la menace communiste. Les Khmers rouges de Pol Pot, soutenus par la Chine communiste prennent Phnom Penh le 17 avril 1975 et installent un régime autoritaire maoïste.
Musée du génocide de Tuol Sleng
Anciennement un lycée de la capitale Cambodgienne, Tuol Sleng a été aménagé de façon à recevoir les détenus des Khmers rouges. C'est sous le nom de code de "Sécurite 21" ou "S21" qu'entre 1975 et 1979, Pol Pot et ses sbires utilisèrent ce complexe pour torturer et exécuter entre 16 et 20 000 prisonniers. Personne ne s'est échappé de cet endroit maudit. Fait troublant, à la libération du camp, il n'y avait que sept survivants...
Le musée permet, à travers la visite des bâtiments de torture et d'emprisonnement, de ne pas laisser sombrer dans l'oubli ce massacre.
Toute la barbarie dont l'homme est capable me reviens à l'esprit, tant cette image nous rappelle l'horreur qu'a traversé le peuple cambodgien. ET la barbarie continue, ailleurs. Quelle force dans ces image!
Les Khmers rouges furent chassés de Phnom Penh par les vietnamiens en 1979 et les gens commencèrent à retourner dans la ville. Une période de reconstruction commença, aidée par la stabilité du gouvernement, attirant des investissements étrangers et une aide par des pays comme la France, l'Australie et le Japon et des organisations supra-nationales notamment pour le ravitaillement en eau potable, les routes et les autres infrastructures.
La corruption reste omniprésente L’Etat devrait donner l’exemple, hélas, des plus hauts dignitaires, aux plus humbles fonctionnaire, ce n’est pas toujours le cas, même si la tendance est de plus en plus a la discrétion ; des terrains sont vendus a des compagnies privées pour une bouchée de pain , des contrat sont octroyés a des hommes d’affaires véreux en relation étroite avec le pouvoir.
Cette pratique a même conduit a la privatisation partielle du patrimoine culturel Cambodgien, des routes menant a des temples séculaires on ainsi ouvert a coup de bulldozer, et les touristes comme les habitants ,ne peuvent plus les emprunter qu’en payant un droit de passage très élevé .
/>’aide étrangère coule a flots. De nombreuse petites et grosses ONG ont joue un rôle clé dans la remise en état du pays et, de fait sans elles bien plus de cambodgien seraient plongés dans la misère.
Mais d’aucun font aussi remarquer que beaucoup de fonctionnaire de grandes organisation international menent la belle vie entre Genève et Phnom Penh ,perçoivent des salaires très élevés, roulent dans des 4x4 de haut gamme et vivent dans des maisons de luxe. On reste songeur en imaginant que l’argent finançant le train de vie d’un consultant international pourrait êtres directement dépensé au profit des plus démunis.
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