Il y en a ras le bol !!.
La déforestation « C’EST CHOQUANT ». La région de Stung Strent est menacée, la culture sur brulis ? Le peuple a besoin de riz ? Une meilleure économie ? Qui sont les intéressés ?
Tout le monde est impliqué dans cette histoire.
La déforestation constitue la plus grande menace pour l’environnement.
Au milieu des années 1960 ,la foret tropical humide couvrait environ 75% du territoire. Aujourd’hui, sa superficie est estimée a 30%.Durant l’occupation Vietnamienne, l’armée a abattu de nombreux arbres pour prévenir les embuscades des Khmers rouge, mais la situation est devenue vraiment une catastrophique dans les années 90 ,lorsque le passage de l’économie planifiée a une économie de marché a incité le pays , accourt de liquidité ,a vendre ces ressources naturelles .La plupart des forets en dehors des parcs nationaux on été cédée a des exploitants forestiers sous les gouvernement de coalition, avec l’accord des deux Premiers Ministres . Tandis que les politiciens comptaient tranquillement les bénéfices dégagés, ces entreprises entreprirent de raser les forets.
La demande International de bois est considérable .Le pays voisins comme la Thaïlande et le Vietnam, contrôlent bien plus sévèrement l’abattage des arbres tout en déjouant les restrictions plus laxistes du Cambodge.
Inutile de se demander pourquoi les entreprises forestières étrangères affluent au Cambodge.
Au plus fort de la déforestation fin 97,les concessions couvraient un peu moins de 70 000km2,soit la quasi totalité de la forets Cambodgien, a l’exception des parc nationaux et des zones protégées. Cependant, memes au cœur de ces havres supposés, l’abattage illégal prospérait.
L’armée joue un rôle moteur dans la déforestation : au nom de la sécurité, elle aide au déboisement des concessions légales…et exploite illégalement d’autre zone . Les revenus de ces activités alimentent le budget opaque de l’armée , dont le cout officiel absorbe déjà une grande parties des ressource de l’Etat.
Plus récemment l’armée Thaïlandaise a fait son apparition pour construire des routes dans l’ouest du pays. Beaucoup d’entre elles traversent le cœur de la foret et quantité d’arbres disparaissent de l’autre coté de la frontière, avant de refaire surface en Europe sous forme de mobilier de jardin.
A court terme, la déforestation contribue a l’aggravation des inondations le long du Mékong. Les répercussions a long terme seront bien plus grave. Une fois les collines déboisées ,les pluies des moussons lessiveront inévitablement une grande partie de la couche arable.
Il ne fait aucun doute que les conséquence seront catastrophiques pour le lac Tonlé Sap. Combinés a la pêche excessive et a la pollution, ces problèmes risquent d’entrainer la destruction du lac ,un désastre pour les génération futures. Des signes encourage son apparus sous la pression de bailleur de fonds et des institutions internationales.
Toujours même, l’exploitation illégal a petit échelles se poursuit : l’abattage pour la production de charbon, et le défrichement par le feu pour installer des villages continue a grignoter la couverture forestière.
La grande menace aujourd’hui sont les plantations commerciales qui sont en train de se multiplier et que les entreprises concernées tentes de promouvoir comme la déforestation pour le développement.
Le Cambodge a besoin d’une gestion forestière durable , soucieuse de protéger l’environnement tout en procurant des bénéfices économiques.
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