Ranong foret tropical il pleut à longueur d’année. On doit sortir du pays au plus vite car c’est notre dernier jour premis en Thailande, on gambade sur un bateau qui nous mènent sur une ile en Birmanie qui ne ressemble a rien de la Birmanie, mai qui et avantageux pour revenir en Thaïlande pour 14 jours de plus.( ce qui s’appelle visa run).
Mosque en Thailande
Soirée dans un temple Takau -Pa . Tous le monde dort dans la même salle.
Phuket (Thaï ภูเก็ต prononcer "puuoket", du malais bukit, "colline") est une des provinces méridionales (changwat) de la Thaïlande. Les provinces voisines sont (du nord dans le sens des aiguilles d'une montre)Phang Nga et Krabi,
Les deux heroïnes de la province, Thao Thep Kasattri et Thao Sri Sunthon, deux femmes déguisé en hommes.
L'exploitation de mines d'étain a été une source de revenus importante pour l'île depuis leXVIe siècle. Beaucoup d'ouvriers chinois ont été employés dans les mines, et leur influence sur la culture de Phuket peut encore être sentie aujourd'hui. Avec la chute des prix de l'étain, l'exploitation a maintenant complètement cessé. De nos jours, l'économie de Phuket se repose sur deux piliers : plantations d'hévéa (faisant à la Thaïlande le plus grand producteur du caoutchouc dans le monde) et le tourisme.
s. Un endroit très prisé par les tourismes qui transforme cette péninsule en tant que colonie de vacances et augment la délinquance.
Ouvrez ouvrez la cage aux oiseaux, les regardés s'en volé c'est beau ( sauf quand il y un chasseur pas loin) au moin une soicentaine de fois je les chanté cet chansons de PP. Les Thailandais peuvent dépenser une fortune pour ces oiseau en vente aux encheres
Une agriculture manipuler ou forcée ?
La route qui relie Trang et Krabi, dans le Sud de la Thaïlande, est un exemple de ce que les économistes appellent développement. Là où il y avait autrefois une forêt tropicale luxuriante on voit maintenant des rangs innombrables de palmiers à huile ou d’hévéas. La monotonie n’est rompue, çà et là, que par quelques îlots de maisons et de magasins entourés d’un océan de plantations d’arbres. Au bout de la route, des fermes crevettières ont pris la place des forêts de palétuviers, dont une mince rangée seulement, sur les bords du fleuve, a échappé à la destruction. La riche diversité de la région a été vaincue par la monoculture.
Lorsqu’ils entendent des critiques de ce genre, les fonctionnaires gouvernementaux se hâtent de répondre que la diversité biologique est préservée dans plusieurs parcs nationaux et réserves de faune qui garantissent la conservation des espèces indigènes végétales et animales.
Néanmoins, bien des gens du coin sont mécontents, autant des plantations que des politiques de conservation officielles, et ils se sont associés pour faire changer les choses. Un de ces groupements est le « Réseau d’organisations populaires pour la chaîne de montagnes de Bantad », qui réunit des personnes ayant des problèmes semblables.
Ces problèmes ont commencé il y a une trentaine d’années, lorsque le gouvernement a commencé à créer des zones protégées de plusieurs sortes dans les forêts où les communautés locales avaient vécu des siècles durant, comme dans le cas du groupe ethnique sakai. Pour pouvoir rester dans la zone ils devaient prouver qu’ils vivaient déjà là avant l’approbation de la loi forestière. Ce qui plus est, pour être autorisés à poursuivre leurs activités traditionnelles dans la forêt il fallait : 1) que la zone ne soit pas considérée comme « en danger » ou « vulnérable » par le gouvernement, et 2) que la pente soit de moins de 30 %. L’application de ces deux conditions a rendu illégales la plupart des activités, puisque n’importe quel endroit peut être déclaré « en danger » ou « vulnérable » et que les communautés ont toujours utilisé toutes les altitudes à des fins diverses.
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